Réunion de printemps 2021: mise à jour du 2 avril

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Veuillez noter que certains contenus de ce bulletin d’information ne sont peut-être disponibles qu’en anglais.

Chers et chères collègues,

Voici la première édition du point sur les réunions de printemps 2021.

Dans ce numéro : le discours inaugural de Kristalina Georgieva, dans lequel la directrice générale explique, à l’aube des réunions, pourquoi il faut une injection d’équité pour tous ; le lancement de deux chapitres analytiques des nouvelles éditions des Perspectives de l’économie mondiale et du Rapport sur la stabilité financière dans le monde ; un nouveau chapitre analytique du dernier Moniteur des finances publiques ; les perspectives interrégionales en matière de transformations économiques et sociales ; et un tour d’horizon du programme des réunions de printemps qui se tiennent la semaine prochaine.

UNE INJECTION D’ÉQUITÉ POUR UNE REPRISE DURABLE

Plus tôt dans la semaine, Kristalina Georgieva a planté le décor de ces réunions de printemps en évoquant l’avenir de l’économie mondiale lors d’un événement organisé par le Council on Foreign Relations et animé par Fareed Zakaria, de CNN.

« Nous nous trouvons aujourd’hui à un autre tournant historique », a-t-elle déclaré. « Pour paraphraser Franklin D. Roosevelt : “Le moment historique que nous traversons est porteur de promesses autant que de dangers.”

« La bonne nouvelle est que l’économie mondiale a retrouvé une assise solide. Les vaccins, dont bénéficient des millions de gens, sont porteurs de la promesse d’un retour à une vie normale, où chacun pourra sans crainte retrouver sa famille et ses amis. Mais le danger est bien là, lui aussi. Les trajectoires économiques divergent. L’accès universel aux vaccins n’est toujours pas une réalité. Trop de gens continuent de perdre leurs emplois et de basculer dans la pauvreté, trop de pays sont en déclin économique.

« Nous ne pouvons pas nous permettre de baisser la garde ! Le sort du monde au lendemain de la crise dépendra directement des décisions que nous prendrons aujourd’hui. Il nous faut donc prendre les bonnes décisions. Cela implique, avant tout, une injection d’équité pour tous : un vaccin partout dans le monde, afin de mettre un terme à la pandémie une bonne fois pour toute, et une chance d’accéder à un avenir meilleur pour les populations et les pays vulnérables, afin de jeter les bases d’une reprise inclusive et durable. »

Nous vous recommandons vivement de lire l’intégralité du discours (ou de regarder l’entretien de 60 minutes) : il déborde de faits et chiffres essentiels, dresse le tableau de la situation économique dans le monde, propose un éventail de mesures nécessaires pour assurer une reprise durable, et présente les types d’investissements qui permettront de bâtir un système économique plus respectueux de l’environnement, plus intelligent et plus inclusif.

🎙️ Vous pouvez également écouter ce discours de 15 minutes via les podcasts du FMI.

SÉQUELLES DE LA PANDÉMIE : UNE LENTE GUÉRISON

Les récessions font des ravages et les dommages qui en découlent sont souvent durables. Des entreprises ferment, les dépenses d’investissement diminuent et les personnes sans emploi peuvent perdre leurs compétences et leur motivation au fil des mois. Cela dit, la récession provoquée par la pandémie de COVID-19 n’est pas comme les autres. Par rapport aux précédentes crises mondiales, la contraction a été soudaine et profonde : selon des données trimestrielles, la production mondiale a diminué environ trois fois plus que lors de la crise financière mondiale, en deux fois moins de temps.

Les tensions financières systémiques, et les dommages économiques durables qui en découlent, ont été largement évitées jusqu’à présent, grâce aux mesures sans précédent prises par les pouvoirs publics. Toutefois, la voie de la reprise reste difficile, en particulier pour les pays dont l’espace budgétaire est restreint, et est rendue encore plus escarpée par la diversité des conséquences de la pandémie.

Dans un nouveau billet basé sur le deuxième chapitre analytique de la nouvelle édition des Perspectives de l’économie mondiale, Sonali Das et Philippe Wingender écrivent que malgré une croissance plus forte que prévu à mesure que l’économie mondiale se remet du choc de la COVID-19, la production mondiale devrait être inférieure aux projections d’avant la pandémie d’environ 3 % en 2024 (moyen terme). Étant donné que la stabilité financière a été largement préservée, les séquelles escomptées sont moindres que celles observées à la suite de la crise financière mondiale.

Toutefois, contrairement à ce qui s’est passé pendant la crise financière mondiale, les pays émergents et les pays en développement devraient être plus touchés que les pays avancés, et les pertes devraient être plus élevées dans les pays à faible revenu.

À mesure que la campagne de vaccination avancera et que les contraintes d’approvisionnement s’atténueront, les politiques visant à limiter les séquelles devront mettre l’accent sur trois priorités :

Premièrement, mettre fin au recul de l’accumulation de capital humain. Pour remédier au creusement des inégalités qui découlera probablement de la pandémie, il convient d’élargir la portée des dispositifs de protection sociale et d’allouer des ressources suffisantes à la santé et à l’éducation ; deuxièmement, soutenir la productivité au moyen de mesures visant à faciliter la mobilité professionnelle et à promouvoir la concurrence et l’innovation ; troisièmement, accroître les investissements dans les infrastructures publiques, en particulier celles qui sont respectueuses de l’environnement, afin d’attirer des investissements privés.

📺 Regardez un entretien sur ce thème entre Sonali DasPhilippe Wingender et Silvia Amaro, de CNBC.

DES POLITIQUES DE L’EMPLOI POUR UNE REPRISE PLUS ÉQUITABLE

La pandémie de COVID-19 a détruit des emplois, sûrement et rapidement. Les effets de la crise sur les travailleurs pourraient être tout aussi douloureux et inégaux dans la durée. En moyenne, ce sont les travailleurs les plus jeunes et les moins qualifiés qui ont le plus souffert. Les femmes, en particulier dans les pays émergents et les pays en développement, ont également été touchées. Beaucoup de ces travailleurs subissent des pertes de revenu et se heurtent à des difficultés pour trouver un emploi. Le choc a provoqué de telles mutations structurelles sur l’économie que même lorsque la pandémie reculera, les perspectives professionnelles pourraient se fermer définitivement dans certains secteurs et professions, et d’autres se développer.

Dans un nouveau billet basé sur le troisième chapitre analytique de la nouvelle édition des Perspectives de l’économie mondiale, John Bluedorn écrit que nous étudions comment les politiques publiques peuvent atténuer les effets terribles et inégaux de la pandémie.  Nous constatons qu’un train de mesures destinées à aider les travailleurs à conserver leur emploi lorsque le choc de la pandémie se fait encore sentir, conjugué à des mesures visant à encourager la création d’emplois et faciliter l’adaptation à de nouveaux emplois et métiers, lorsque la pandémie déclinera, peut modérer sensiblement son impact négatif et faciliter la reprise du marché du travail.

On peut conclure des récessions précédentes que cette pandémie va vraisemblablement faire payer un coût élevé aux chômeurs, en particulier ceux qui sont peu qualifiés. Après des périodes de chômage, les travailleurs sont souvent contraints de changer de métier pour trouver un emploi, ce qui s’accompagne souvent de baisses de salaire. En moyenne, les chômeurs qui trouvent un emploi dans une nouvelle profession voient leurs revenus beaucoup diminuer par rapport à leur emploi précédent, de l’ordre de 15 %.

Les travailleurs les moins qualifiés subissent une triple peine : ils risquent davantage de travailler dans des secteurs qui subissent le plus les effets négatifs de la pandémie et d’être mis au chômage pendant les récessions, et parmi ceux qui parviennent à trouver un emploi, ils sont plus souvent tenus de changer de profession et de subir une baisse de revenu.

📺 Regardez un entretien sur ce thème entre John Bluedorn et Heather Long, du Washington Post.

AFFRONTER LES RISQUES D’UNE HAUSSE DU RATIO D’ENDETTEMENT

La capacité d’emprunt est à double tranchant. Elle peut stimuler la croissance économique car elle permet aux entreprises d’investir dans des machines pour augmenter leur production ou aux ménages d’acheter un logement et une voiture ou de financer les études de leurs enfants. Pendant une crise économique, elle peut jouer un rôle particulièrement crucial en fournissant une passerelle vers la reprise économique.

Tout dernièrement, dans le contexte de la forte contraction de l’activité économique engendrée par les confinements et les pratiques de distanciation physique liés à la pandémie de COVID-19, les dirigeants ont pris des mesures afin que les entreprises et les ménages puissent continuer d’accéder aux marchés du crédit et à l’emprunt afin d’atténuer le ralentissement. Grâce à ces mesures, de nombreuses entreprises sont ainsi parvenues à limiter les licenciements, tandis que les ménages à court d’argent ont pu continuer à payer les dépenses indispensables comme le loyer, le gaz et l’électricité ou les produits alimentaires.

Cependant, un niveau élevé ou une forte hausse du ratio d’endettement peut constituer une vulnérabilité financière et fragiliser l’économie en cas de brusque décélération de l’activité ou de forte correction du prix des actifs. En fait, les crises financières ont été souvent précédées par une augmentation rapide du ratio d’endettement, un phénomène souvent appelé « boom du crédit ».

Pour les dirigeants, la question se pose alors de savoir comment protéger la timide reprise tout en évitant une augmentation excessive du ratio d’endettement.

Dans un nouveau billet basé sur le deuxième chapitre analytique de la dernière édition du Rapport sur la stabilité financière dans le monde, Adolfo Barajas et Fabio Natalucci écrivent que notre dernière analyse indique que le relâchement des conditions financières tend à accélérer l’accumulation de l’endettement. Cela complique davantage le difficile arbitrage intertemporel que les autorités doivent effectuer, et qui tient au fait que si la souplesse des conditions financières stimule la croissance à court terme, elle contribue également à aggraver les aléas baissiers pour la croissance à moyen terme. Des mesures macroprudentielles peuvent juguler la hausse du ratio d’endettement et renforcer la résilience, atténuant ainsi les futurs risques pour la stabilité financière.

L’IMMOBILIER COMMERCIAL À LA CROISÉE DES CHEMINS

Immeubles de bureaux vides. Magasins aux horaires d’ouverture réduits. Chambres d’hôtel à des prix incroyablement bas. Autant de signes des temps. Les mesures d’endiguement prises l’an dernier en riposte à la pandémie ont entraîné la fermeture d’entreprises et de bureaux, et porté un coup sévère à la demande d’immobilier commercial, en particulier dans les segments du commerce de détail, des hôtels et des bureaux.

Au-delà de ses répercussions immédiates, la pandémie a également assombri les perspectives pour l’immobilier commercial, étant donné l’émergence de tendances telles que la baisse de la demande de vente au détail physique traditionnelle au profit du commerce en ligne, ou de bureaux sous l’effet des politiques de travail à domicile.

Dans un nouveau billet basé sur le troisième chapitre analytique du Rapport sur la stabilité financière dans le monde, Andrea Deghi et Fabio Natalucci écrivent que, selon une analyse récente du FMI, ces tendances pourraient perturber le marché de l’immobilier commercial et représenter une menace pour la stabilité financière.

Des taux faibles et un argent bon marché permettront aux entreprises non financières de continuer d’accéder au crédit, concourant ainsi à la reprise naissante du secteur de l’immobilier commercial. Toutefois, si cette souplesse des conditions financières favorise une prise de risques excessifs et contribue aux désalignements des prix, les autorités pourront alors se tourner vers leurs instruments macroprudentiels.

Il sera possible d’utiliser des instruments comme les limites à la quotité de prêt et au ratio de couverture du service de la dette pour remédier à ces facteurs de vulnérabilité. De plus, les autorités pourront envisager d’élargir le champ d’application de la politique macroprudentielle afin d’englober les institutions financières non bancaires, qui sont des acteurs importants sur les marchés de financement de l’immobilier commercial. Enfin, afin de maintenir la solidité du secteur bancaire, le recours aux tests de résistance pourra aider à prendre des décisions éclairées en vue de déterminer le niveau adéquat des volants de fonds propres à réserver pour couvrir l’exposition aux risques liés à l’immobilier commercial.

🎙️ Dans un nouveau podcast de 20 minutes, Andrea Deghi, auteur principal de ce chapitre, et Mahvash Qureshi, chef d’équipe, expliquent que les taux d’inoccupation des espaces de bureaux ont presque doublé en 2020 aux États-Unis car les employés doivent télétravailler, et que cette tendance perdurera probablement bien après la pandémie.

📺 Vous pouvez également regarder un entretien de 20 minutes sur ce thème entre Fabio Natalucci, Andrea Deghi et Silvia Amaro, de CNBC.

AMÉLIORER L’ACCÈS AUX SERVICES PUBLICS DE BASE

La pandémie de COVID-19 intensifie le cercle vicieux des inégalités. Pour le briser et donner à toutes et à tous une injection de prospérité, les pouvoirs publics doivent améliorer l’accès aux services publics de base — tels que les soins de santé (dont la vaccination) et l’éducation — et renforcer les politiques de redistribution.

Pour y parvenir, la plupart des pays devront accroître leurs recettes et l’efficacité de leurs dépenses. Ces réformes devront être complétées par une plus grande transparence et une plus grande responsabilisation, ce qui pourra raffermir la confiance générale dans l’État et favoriser la cohésion sociale.

Dans un nouveau billet basé sur un nouveau chapitre analytique du Moniteur des finances publiques, David Amaglobeli, Vitor Gaspar et Paolo Mauro écrivent que la préexistence d’inégalités a aggravé l’incidence de la COVID-19. Les disparités d’accès aux services de base se sont soldées par des résultats sanitaires inégaux. Selon une nouvelle étude, les pays ayant un accès moindre aux soins de santé, calculé en fonction du nombre de lits d’hôpital, ont connu des taux de mortalité liée à la COVID-19 supérieurs aux prévisions, au regard de l’âge de la population et du nombre de cas. De même, notre étude montre que les pays dont la pauvreté relative est supérieure recensaient un nombre plus élevé de personnes infectées et de décès.

D’autre part, la COVID-19 accroît également les inégalités. L’éducation des enfants en est un exemple. Notre analyse montre qu’avec les fermetures massives d’écoles, les pertes d’apprentissage enregistrées en 2020 sont estimées à un quart de l’année scolaire et à deux fois plus dans les pays émergents et en développement. Les enfants issus de familles pauvres y contribuent de manière disproportionnée. Selon nos estimations, jusqu’à 6 millions d’enfants des pays émergents et des pays en développement pourraient abandonner leurs études en 2021, avec des conséquences négatives irrémédiables.

Lisez le billet sur le blog, le résumé du chapitre ou le chapitre dans son intégralité.

📺 Vous pouvez également regarder un entretien de 10 minutes sur ces thèmes entre Paolo Mauro et Henry Curr, de The Economist.

TRANSFORMATIONS ÉCONOMIQUES ET SOCIALES DE PAR LE MONDE

Quelles perspectives interrégionales peut-on établir sur la base de précédentes transformations économiques, politiques et sociales, telles que la chute du Mur de Berlin, les conséquences des Révoltes arabes ou les récentes manifestations en Amérique latine ? Quelles leçons les dirigeants peuvent-ils tirer de ces événements pour appliquer des réformes à l’appui d’un nouveau contrat social ?

Hier, Kristalina Georgieva, Jihad Azour et Alejandro Werner, tous trois du FMI, et des experts de renom du Moyen-Orient, d’Amérique latine et d’Europe, dont Erik Berglöf, Mauricio Cárdenas, Marwan Muasher et Minouche Shafik, ont débattu de l’occasion que la pandémie peut offrir aux pays de refondre leurs systèmes économiques pour les rendre plus intelligents, plus justes, plus écologiques et plus créateurs d’emplois.

Mme Georgieva a fait remarquer que le changement et la transformation ouvrent des possibilités et apporte des bienfaits, mais qu’ils doivent s’accompagner de mesures de soutien aux personnes qui en subissent les effets négatifs. M. Muasher a relevé que l’absence de bonne gouvernance et de débouchés économiques est un ressort fondamental des grandes mutations sociétales. M. Cárdenas a déploré le brusque recul des progrès qui avaient été engrangés en matière de pauvreté et d’inégalité. Mme Shafik a souligné que les contrats sociaux existants n’apportent pas la sécurité nécessaire et n’assurent pas l’égalité des chances, et que d’innombrables talents sont gaspillés de par le monde.

📺  Regardez ici ce passionnant débat de 60 minutes.

FORUM DE LA SOCIÉTÉ CIVILE

Ces deux dernières semaines, le FMI et la Banque mondiale ont organisé le Forum de la société civile, au cours duquel des centaines de participants du monde entier représentant des organisations de la société civile, le monde universitaire, le secteur privé et les administrations publiques se sont réunis pour parler de reprise verte et inclusive, de protection sociale, d’accès universel aux vaccins, de changements climatiques, de lutte contre la corruption, de dette et de droits de tirage spéciaux. Consulter ici le programme complet, avec des liens pour revoir chaque séance.

Au cours d’une séance animée par Ceyla Pazarbasioglu, directrice du département de la stratégie, des politiques et de l’évaluation du FMI, elle a discuté avec les organisations de la société civile des moyens d’assurer une reprise plus juste et plus écologique. Elle a parlé des mesures prises par le FMI en réponse à la crise de la COVID-19, des enseignements qu’il a tirés de la crise financière mondiale, et de la collaboration entre le FMI et ses pays membres pour contribuer au redressement de leur économie en veillant à la rendre plus juste, plus intelligente et plus écologique.

📺 Voir la suite dans ce débat de 60 minutes.

RÉUNIONS DE PRINTEMPS 2021 : UN AVANT-GOÛT DE LA SEMAINE PROCHAINE

Lundi, notre événement IMF Inspired intitulé « Vacciner le monde » commencera par une intervention de Kristalina Georgieva, suivie d’une conversation entre Aurélia Nguyen, directrice générale du mécanisme COVAX, et Sabina Bhatia, du FMI, à propos des difficultés de l’achat et de la distribution des vaccins, ainsi que de la nécessité d’assurer une coopération internationale pour garantir un accès équitable à la vaccination dans le monde entier.

Une quinzaine d’autres événements se tiendront la semaine prochaine :

Des conférences phare : Lors d’une série de trois conversations de 60 minutes chacune, consacrées à des thèmes différents (éviter un piège de la dette sous l’effet de la COVID-19, une année critique pour l’action pour le climat, et un débat sur l’économie mondiale), Kristalina Georgieva s’entretiendra avec Mohamed El-Erian, Vera Songwe, John Kerry, Jerome H. Powell, Paschal Donohoe et Ngozi Okonjo-Iweala.

Coin analytique : Lors d’une série de quatre exposés de 45 minutes sur des thèmes tels que la reprise après la pandémie, les inégalités et la dette, la transformation numérique, et les changements climatiques, des experts du FMI aborderont un éventail de questions spécifiques : la stabilité financière après la COVID en Asie, la COVID-19 et les marchés du travail en Amérique latine, l’insécurité alimentaire et la pandémie, les rapports entre technologie et fiscalité, les monnaies numériques des banques centrales, les incidences des changements climatiques sur l’économie mondiale, etc.

La parole aux gouverneurs : Lors d’une série de six entretiens de 30 minutes avec les directeurs des départements régionaux du FMI, les gouverneurs des banques centrales de l’Espagne, de l’Arabie Saoudite, du Burkina Faso, de la Croatie, du Brésil et de la Thaïlande parleront des mesures prises en riposte à la COVID-19 et de celles à prendre pour bien négocier la reprise après la pandémie.

Conférences sur le développement des capacités : Lors d’une série de quatre conférences de 45 minutes, les thèmes suivants seront abordés : l’action du FMI en matière de protection sociale, le renforcement de la transparence relative aux dépenses liées à la COVID-19 au moyen de plateformes numériques, des formations sur les moyens de promouvoir une croissance inclusive, et la conception de systèmes de paiement numériques sûrs, efficients et accessibles à tous.

📅  Cliquez ici pour consulter le programme complet, avec des boutons pour ajouter des rappels à votre agenda, des informations sur les orateurs et les membres des panels, ainsi que des liens pour suivre les séances diffusées en direct.

Nous ferons à nouveau le point le lundi 5 avril.

Cordialement,

L’équipe des réunions de printemps 2021 du FMI

P.S. : 🎙️ Avez-vous vu le débat sur l’innovation dans le secteur privé et la reprise après la pandémie, auquel Kristalina Georgieva a récemment participé ? Dans le cadre du podcast « Zeitgeist » de Google, elle s’est entretenue avec Ruth Porat, directrice financière d’Alphabet et de Google, et David Miliband, président de l’International Rescue Committee. Le temps vous manque ? Parcourez la retranscription ici.


Réunion de printemps 2021: partenaires médias

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